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La tentative de refaire le fil  Collage numérique  2020.jpg
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Natalie TREMBLAY

Membre professionnelle

 

375, chemin du Moulin
Saint-François, G0A 3S0

Cell : (581) 777-6414 

Courriel : 

natalietremblayartiste@gmail.com

Site Internet : www.natalietremblay.art

Discipline : Art visuel

Biographie

Natalie Tremblay est une artiste multidirectionnelle. Son parcours artistique débute en même temps que ses études en ethnologie. En 2010, au terme de son doctorat, elle aura produit deux courts documentaires et plusieurs peintures à l’huile que l’on peut voir dans la série Savoir Anarchie. Ce moment marque un changement dans sa pratique qui passe progressivement de l’abstrait au figuratif, ou du paysage intérieur au paysage extérieur.

En 2015, toujours animée par ses recherches doctorales sur la domesticité, elle peint une série de maisons dans lesquelles elle cherche à révéler le contenu psychique associé à ce sujet. Ce projet se poursuit en 2017 dans la série des fenêtres. 

La série suivante, réalisée en 2018, marque un retour au paysage et à une certaine forme d’abstraction qui, cette fois-ci, se veut géométrique. La série « J’habite un pays qui m’habite » est le résultat de ses études du paysage et du territoire québécois. Cette année est également marquée par l’apprentissage de nouvelles techniques : la lithographie, la sérigraphie et la gravure à la pointe-sèche, cette dernière aboutissant à la création de la série « La mémoire se culture comme une terre », dans laquelle on voit aussi apparaître ses premiers collages.

La pandémie amenant son lot de bouleversements, elle apprend l’art numérique. Cette nouvelle technique est mise en pratique dans la série « Folklore et autres mythes fondateurs » dont les œuvres sont des collages numériques réalisés à partir de photos prises à la suite de son déménagement sur l’île d’Orléans à l’été 2020. 

En 2021, elle coordonne la production et assume différentes autres fonctions au sein de l’équipe du court métrage « Le temps des poireaux », un film ethnopoétique qui présente les deux dernières fermes à cultiver le poireau sur l’île d’Orléans.

Artiste engagée, elle travaille quelques années en politique puis pour des organismes se consacrant à la défense et la promotion de la langue française. Depuis, 2016, elle est éditrice de la revue scientifique Éducation et francophonie. Elle est aussi présidente de Quaribou Culture et secrétaire du centre de production en estampe Engramme.

Démarche artistique

 

L’artiste transpose son regard et sa sensibilité d’ethnologue dans des œuvres qui parlent de la transformation du monde, du construit social et culturel, ainsi que de l’intériorisation du territoire. Elle se sert notamment du paysage, ou des éléments qui le composent, pour illustrer les liens que nous tissons avec notre environnement. À l’aide d’une poétique du proche, elle cherche à dévoiler le banal, le quotidien, les habitudes et les traditions.

Sa posture artistique est exploratoire et implique une variété de médiums.

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