Biographie 

Alex De Lavoie, née au petit village  de Packington, dans le Bas St-Laurent, elle peint depuis son tout jeune âge à reproduire toutes les photos ou images qu’on lui demande, et on constate un talent déjà très marquant que mentionne tous ses professeurs durant son enfance et adolescence. Un évènement pivot et quelques tribulations géographiques amènent curieusement une création unique en son genre offrant un style qui rejoint tous les cœurs d’enfants avec ses couleurs franches et des personnages expressifs. «  Le naïf Lollypop. » Ce style particulier l’amène à faire son entrer à la Galerie Jeannine Blais de North Hatley, reconnue internationalement par sa spécialité du naïf.  Ensuite en 2002, lors d’un symposium à Magog où elle participe, le directeur du Musée s’éblouit à voir du jamais vu, ce qui l’amène à la faire entrer par la porte centrale du Musée International d’art Naïf de Magog. À la UNE en Floride et à quelques reprises au Québec, gagnante de concours et de coup de cœur du public, elle est en 2008 le sujet d’un reportage de Radio-Canada racontant l’accident de parcours qui lui fait gagner sa vie depuis l’an 2000 parcourant les routes des symposiums de peinture, festivals ou autre expositions. Cet accident se résume à avoir sursauter en même temps que son pinceau intentionné de faire le premier petit œil du personnage alors que le petit point s’est accroché à une virgule et l’expression du visage a fait Pop! Personnalité attachante, elle laisse une trace d’amour généreux en s’inspirant de votre quotidien et de souvenirs d’enfance …  Peut-être serez-vous dans l’une de ses toiles déguisés en petits personnages humoristiques. Et après une solide expérience de persévérence sur la route , elle pose enfin son ancre sur la fameuse Ile d’Orleans où le bonheur de vivre abonde!

En plus de son immense talent à la peinture, elle possède également celui de l’écriture qui nous transporte dans l’imaginaire de l’enfant. Deux contes pour tous ont vus le jour jusqu’à maintenant « La porteuse de bonheur » ,  « Le poseur d’étoiles » et il y aura un prochain sur son arrivée à l’ile : « Mademoiselle Fripouille à l’île! »  Et l’on décrit son écriture un peu à la Fred Pellerin au féminin car elle joue avec les mots; ex : Le postier du village s’appelle M. Timbré! Votre sourire éclate assurément à ses lectures à constater un imaginaire de petit génie ratoureux, vous en rirez de bonheur.

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